les quatre mains
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lundi 2 janvier 2023
dimanche 27 novembre 2022
Les citronniers...
vendredi 25 novembre 2022
lundi 21 novembre 2022
VÉLO ÉLECTRIQUE : CES ERREURS À ÉVITER POUR PRÉSERVER SA BATTERIE
Un vélo électrique, comme toute machine dotée d’un
moteur et d’une batterie, doit être rigoureusement entretenu. Voici des erreurs
courantes à éviter !
Les vélos électriques ont la côte. Dotés d’un petit moteur
avec une batterie, ces vélos à assistance électrique (VAE)
permettent d’aider le cycliste au pédalage. Ils offrent une poussée
supplémentaire pour aller plus vite sans effort. C’est très pratique pour les
montées ou pour les longues distance de faux-plats par exemple.
Mais, comme tout modèle électrique disposant d’un moteur, ces
machines ont besoin d’être entretenues avec soin. Et notamment la batterie, qui
fonctionne au lithium.
Voici comment entretenir celle-ci et comment la
préserver sur le long terme !
Ne pas faire réviser votre vélo
régulièrement
Un vélo électrique, avec une batterie et un petit moteur, ça s’entretien.
Régulièrement, au moins une fois par an, il est nécessaire de passer chez votre
revendeur pour vérifier que tout fonctionne correctement. Si un élément affiche
une usure prématurée, tout d’abord les performances de votre vélo peuvent en
pâtir mais également dans un second temps votre batterie. Et si elle est
anormalement sollicitée, cela peut entrainer une usure prématurée. Pensez donc
bien à faire réviser régulièrement votre modèle !
N’utilisez pas la recharge rapide
trop souvent
Si vous utilisez majoritairement la recharge rapide ou ultra-rapide,
cela peut avoir des effets néfaste pour votre batterie sur le long terme. Quand
on sollicite beaucoup la batterie lors de cette recharge, la température
augmente fortement. Et cela peut s’avérer néfaste pour les cellules de la batterie
et entraîner sa dégradation précoce. Au quotidien, privilégiez la recharge
lente et laissez la recharge rapide pour les urgences ou si vous ne pouvez pas
faire autrement.
Ne gardez pas un niveau de batterie
faible trop longtemps
Pour conserver une batterie en bonne santé, il faut conserver un niveau
compris entre 20 et 80%. Comme pour tous les appareils fonctionnant avec
une batterie au lithium, si vous descendez en dessous de 5% cela va accélérer
sa détérioration au fur et à mesure du temps. Parfois, la situation vous
empêche de bien gérer votre niveau de charge. Mais tant ce reste ponctuel
et surtout que la batterie reste peu de temps à ces niveaux extrêmes, il n’y a
pas mort d’homme !
N’adoptez pas une conduite trop
nerveuse
Si vous conduisez trop nerveusement, vous allez plus vite décharger votre
batterie. Et, celles-ci étant conçues pour tenir un certain nombre de cycle de
recharge, plus vous déchargez vite et plus la capacité va se réduire et les
cellules se dégrader. Adopter une conduite plus souple permet de maximiser sa
durée de vie.
Ne laissez pas votre véhicule électrique
immobilisé trop longtemps
En laissant votre véhicule trop longtemps immobilisé, la batterie et ses
composants chimiques vont se dégrader et se détériorer de manière précoce. Dans
l’idéal, il est recommandé d’utiliser votre vélo électrique tous les mois et de
le laisser avec la batterie à moitié pleine pour que celle-ci maintienne un
niveau de tension optimale.
À lire aussi :
Ce geste à adopter d’urgence pour
éviter les accidents de vélo
Ne stationnez pas votre vélo
électrique dehors
Il est préférable de laisser son vélo électrique à l’intérieur. Déjà, vous
aurez moins de risque de vous le faire voler, mais aussi pour éviter les
dégradations liées aux intempéries ou au soleil brulant. Dans les deux cas,
cela affecte la durée de vie de la batterie. Le froid extrême va faire baisser
l’autonomie tandis que la chaleur extrême va empêcher le bon fonctionnement de
celle-ci.
lundi 14 novembre 2022
dimanche 16 octobre 2022
Quel pain choisir pour votre santé?
SOMMAIRE
- Blanc,
rustique ou aux graines?
- Au levain
ou à la levure?
- Bien cuit ou pas
trop?
- Grillé ou
pas?
- Avec ou sans
gluten?
• Blanc, rustique
ou aux graines?
Les nutritionnistes
sont unanimes: plus le pain est foncé, mieux c’est. Cela signifie que la farine
utilisée est peu raffinée et offre un grain de blé toujours doté de son
enveloppe où se concentrent fibres, vitamines et minéraux.
- Plus une farine
affiche un petit numéro (55 pour la baguette classique, 65 pour la
tradition, 150 pour le pain complet), plus elle est blanche, pauvre en
nutriments et prompte à faire grimper le poids et la glycémie car débarrassée
des fibres ralentissant l’arrivée des glucides du pain dans le sang.
- À la baguette
blanche à l’indice glycémique très élevé (IG
78 à 90), préférez donc la tradition (IG57 à 75) ou le pain de seigle (IG58).
Le pain complet, allié des transits paresseux (2,5 fois plus de fibres),
affiche en revanche un IG élevé (IG 65 à 77)
- Quant aux pains aux
céréales, excellents, assurez-vous qu’ils soient vraiment préparés avec différentes farines
(avoine, épeautre...) et pas juste décorés de quelques graines en surface... Et
que ces graines soient bien pilées et bien cuites pour ne pas agresser le
côlon.
• Au levain ou à la
levure?
Tous deux permettent
de faire lever le pain. Mais le levain est un procédé naturel de fermentation
(via les bactéries de l’enveloppe du grain de blé) qui offre plus d’avantages.
- Un pain au levain monte plus
lentement et se conserve aussi bien plus longtemps qu’un pain gonflé à la
levure.
- Les vitamines et
minéraux du pain au levain sont mieux assimilés par l’organisme
et sa saveur acidulée permet de limiter l’ajout de sel.
- Quelle que soit la
farine utilisée, un pain au levain affiche un indice glycémique inférieur au
pain monté à la levure.
• Bien cuit ou pas trop?
Question de goût. Mais
pour la santé, mieux vaut préférer un pain bien cuit à son équivalent trop vite
sorti du four.
- Un pain bien cuit ne
colle pas aux dents, ce qui limite le risque de caries et la formation de plaque dentaire dues
à l’adhésion de ses glucides sur l’émail.
- Peu cuit, l’indice
glycémique du pain grimpe. Plus encore s’il est consommé chaud.
- Un pain bien cuit
est toujours plus digeste car la cuisson limite le travail de l’estomac.
- Une mie trop fraîche
favorise gaz et ballonnements, sauf à laisser un peu rassir le pain,
en préférer la croûte ou le choisir au levain dont la lente fermentation dégrade
l’amidon (sucre du pain) et en facilite l’assimilation.
À éviter: le pain de mie qui cumule farine
blanche, levure, lait, sel, sucre et lipides.
• Grillé ou pas?
Pour l‘OMS et
récemment l’Agence de sécurité sanitaire britannique, griller le pain doit se
faire avec discernement.
- Le pain est riche en
amidon et lorsque ce glucide est soumis à trop forte température, s’ensuit
une réaction chimique (glycation) qui le transforme en acrylamide, substance
potentiellement cancérigène. Il est donc recommandé de toaster couleur
"or" et non "brune" et surtout de ne pas faire brûler sa tartine.
- Gare aux pains
grillés industriels: contrairement au vrai pain, pauvre en lipides (0,3 à 1,2g/100g), les
biscottes sont grasses (5 à 8g de lipides/100g) et souvent gorgées de sirop de
glucose pour en améliorer goût et texture.
• Avec ou sans gluten?
Le gluten (ensemble de
protéines) est un ingrédient majeur du pain auquel il donne son élasticité.
Difficile donc de trouver du vrai pain sans gluten...
- Seules les personnes
atteintes de la maladie coeliaque (1% de la population) doivent définitivement
bannir blé, froment, épeautre, kamut, seigle et orge. Pour celles sensibles au
gluten sans y être intolérantes, le pain au levain, dont les bactéries
contribuent à dégrader le gluten lors de la fermentation, peut être
intéressant.